Effets de l’orgonite sur l’environnement
Les exemples ci-dessous sont tous des exemples à grande échelle qui impliquent souvent des centaines de kilos d’orgonites.
Dépollution des étendues d’eau
Je vais essayer de faire un rapport étendu sur le Lac Léman à Genève qui est un lac qui a été orgonisé plusieurs fois depuis la fin 2006 et dont les documents de la qualité de l’eau sont très facilement accessibles.
La première expédition de gifting (orgonisation) a été faite en décembre 2006, vous pouvez trouver des détails en anglais sur cette page: https://web.archive.org/web/20140114072600/http://www.ethericwarriors.com/forum/specific-targets/lake-geneva-1
Des autres ont rajouté des orgonites en 2008 je ne sais plus quand exactement.
Et j’y suis retourné en avril 2011: https://web.archive.org/web/20140114124623/http://www.ethericwarriors.com/forum/orgone-experiences/geneva-gifting-and-department-74-france
Il y a d’abord eu un article paru dans le GHI (journal suisse) le 10 mai 2007
MYSTERE – Le Léman plus clair que jamais
Par Charaf Abdessemed, 10 mai 2007L’eau du Léman est si claire qu’il est aisé d’observer les fonds lacustres. (Photo)
L’eau du Léman est si claire qu’il est aisé d’observer les fonds lacustres. (Photo)
Jamais depuis 40 ans, l’eau du lac n’a été aussi transparente. Une énigme qui laisse les scientifiques perplexes.«A la claire fontaine, m’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si claire, que je m’y suis baigné…»Les Genevois vont pouvoir fredonner à tue-tête cette comptine de notre enfance. Jamais depuis plusieurs décennies en effet, l’eau du lac Léman n’a été aussi claire.
Il suffit de se promener sur les quais ou sur les berges du Rhône pour s’en rendre compte: les fonds lacustres sont aisément discernables, au point qu’algues, bancs de poissons, mais aussi canalisations et autres infrastructures sous-marines, sont observables avec une très grande facilité.Eutrophisation
«Cette situation nous laisse vraiment perplexes, explique Jean Perfetta, adjoint scientifique au Service de l’écologie de l’eau, au Département du territoire. A cette période de l’année, l’eau du lac devrait être beaucoup plus trouble! En raison de la température, exceptionnellement élevée pour la saison, de l’augmentation de la lumière avec l’arrivée du printemps, et de la présence de phosphore due aux engrais dans l’eau, le plancton aurait dû proliférer et rendre l’eau beaucoup moins claire. Or cette année, ce phénomène ne se produit pas!»Depuis les années 60-70 en effet, le lac fait l’objet d’une forte tendance à «l’eutrophisation», c’est-à-dire à la prolifération des plantes microscopiques, en raison de l’augmentation du déversement des engrais, liée à la croissance de la population et de l’activité humaine.
Un phénomène de dégradation de la qualité de l’eau qui a conduit, au début des années 80, à l’adoption de mesures destinées à favoriser l’assainissement du lac: d’une part l’interdiction des phosphates dans les produits de lessives, mais aussi la construction de nombreuses stations d’épuration destinées à traiter les eaux usées.
Hypothèse
«Malgré ces mesures, ce phénomène d’eutrophisation ne s’est pas ralenti, constate Jean Perfetta. Les algues microscopiques, c’est-à-dire le plancton, ont continué à proliférer, en tout cas jusqu’à l’année dernière. En revanche, il est donc possible que ce que nous attendons depuis longtemps soit enfin en train de se produire: la clarté des eaux que l’on observe aujourd’hui est peut-être le résultat des efforts consentis depuis 30 ans. Mais attention, la nature est très complexe: il faudra attendre un an ou deux pour voir si ce phénomène se reproduit!»
Ces gens n’étaient bien évidemment pas au courant des orgonites dans le lac; cette clarté soudaine de l’eau juste quelques mois après la première expédition pour mettre des orgonites dans le lac est assez flagrante et ils n’ont pas vraiment de réponse exacte pour expliquer ce phénomène si soudain.
Les études plus récentes et techniques de l’eau étaient disponibles sur cette page: http://etat.geneve.ch/dt/eau/qualite_eau-878-5277-12510.html
Je vais citer les conclusions de ce document qui ont aussi des points assez sympathiques cipel_micropolluants_2010
Les conclusions du programme de surveillance de base sont sans surprise et confirment les résultats de l’année précédente. Les teneurs en métaux lourds des eaux du Léman demeurent stables et relativement faibles. Celles-ci satisfont pleinement aux exigences requises pour les eaux de boisson au sens des diverses législations. Les concentrations en pesticides totaux se stabilisent depuis 2008 et oscillent entre 0.1 et 0.2 μg·L-1. Toutes les concentrations individuelles mesurées sont inférieures à celles fixées pour une eau de boisson (0.1 μg·L-1 par composé). Par rapport aux années précédentes, aucun nouveau pesticide n’a été décelé en concentration significative.
Le programme élargi d’analyses (pesticides, médicaments, triclosan, bisphénol A, alkyl-phenols) réalisé sur le lac et les rivières en mai 2010 confirme les résultats du programme complémentaire de 2009. Certains médicaments (notamment la metformine, la gabapentine, la carbamazepine, le carisoprodol et les agents de contraste) sont à surveiller de près en raison des concentrations importantes qui ont pu être mesurées dans le lac ou dans les rivières. Les données écotoxicologiques de ces nouveaux micropolluants devront être complétées afin d’être en mesure de mieux évaluer tant les risques environnementaux qu’en matière d’eau potable. Du point de vue des pesticides, le Rhône reste le principal vecteur de micropolluants et justifie pleinement le programme de suivi continu mis en place à la Porte du Scex par les autorités valaisannes.
La détermination des alkyl-phénols a également confirmé les résultats inquiétants obtenus en 2009. Bien que depuis 2005 ces composés soient interdits d’utilisation, les concentrations mesurées portent manifestement à penser que ce n’est pas encore le cas. Plusieurs prélèvements montraient une teneur qui dépassait largement la valeur de la PNEC. Des mesures devraient être prises afin d’identifier les sources de ces rejets.
Les concentrations de micropolluants en rivière sont extrêmement variables. Sans pouvoir donner une image globale de la situation qui prévaut dans le bassin versant, les résultats des deux campagnes élargies de novembre 2009 et de mai 2010 montrent que l’on dispose de peu d’informations sur les flux de micropolluants. Un bilan de flux et une modélisation des micropolluants dans le bassin Lémanique est envisagé afin d’obtenir des bases solides pour améliorer le suivi des micropolluants et établir une stratégie de réduction aux points névralgiques.
Le point le plus intéressant est la stabilisation des pesticides totaux depuis 2008 qui n’est pas surprenante sachant ce que vous savez ici; certes la municipalité effectue pleins de choses pour améliorer la qualité de l’eau du lac, mais cela n’explique pas pourquoi tous ces efforts se sont soudainement concrétisés aux alentours de 2008, la prolifération des macrophytes qui se sont aussi très répandus vers 2008 y joue aussi un rôle important et je n’ai aucun doute dans dans mon esprit que les orgonites on bien aidé les plantes aquatiques bénéfiques à pousser, exactement comme ce qui se passe avec la flore terrestre. Voici les conclusions de ce document suivant, RapportRade2008
L’étude des macrophytes de la Rade et de Port Choiseul en 2008, ainsi que les comparaisons effectuées avec les données anciennes de 1972 et de la fin des années 90, ont permis de décrire l’évolution générale de la richesse et de l’abondance des différentes espèces présentes.
Avec 17 espèces dans la Rade et 8 espèces à Port Choiseul, la richesse en macrophytes est satisfaisante, compte tenu des données historiques. L’importante progression récente des characées aurait pu faire craindre une banalisation de la flore aquatique, comme cela s’était produit dans les années 80 avec la prolifération de Potamogeton pectinatus. La diversité des habitats sur la beine lacustre permet encore aux espèces les plus sensibles de se maintenir.
Le développement noté des characées est un signe encourageant relativement à la santé du Léman. L’extension des herbiers, en particulier dans les zones les plus profondes, ne pose pas de problème de gestion. Au contraire, elle est profitable à la faune aquatique, directement par exemple pour le brochet ou les écrevisses et indirectement pour les oiseaux d’eau qui se nourrissent de la macrofaune fixée sur les characées.
S’il faut relever des aspects négatifs au développement des macrophytes en 2008, il s’agirait principalement de problèmes liés aux ports peu profonds (< 3m d’eau) et au nettoyage des grèves sur lesquelles les characées viennent s’échouer par grands vents, principalement en fin d’été et en automne.
Le plan de gestion du faucardage des plantes aquatiques, mis en place en 2000 et mis à jour en 2008, a fait ses preuves. Les directives données sont d’actualité et doivent être appliquées au mieux par les équipes du SEE. Il faut relever que le principal problème des années 2000-2003 était la prolifération d’Elodea nuttallii qui créait une gêne pour la navigation et la baignade.
Les efforts consentis ont portés leur fruits et actuellement, cette plante ne pose plus guère de problèmes, à suivre toutefois … Une attention particulière doit être donnée au suivi des potamots à grandes feuilles (Potamogeton lucens, P. perfoliatus et P. x decipiens) qui sont rares à Genève et doivent être protégés.
Finalement, les différentes études de la végétation aquatique depuis plus de 30 ans ont permis d’accumuler des données utiles pour le biomonitoring du Léman dans son emsemble ; la valeur bioindicatrice des macrophytes, utilisée à l’échelle de plusieurs décennies, montre un intérêt certain et devrait contribuer à promouvoir de futures investigations concernant les macrophytes du Léman.
Le développement des macrophytes en 2008 est néfaste pour des raisons pratiques, cependant ils ont des effets bénéfiques pour le lac:
6.3. DIRECTIVES DE GESTION
Il faut garder à l’esprit qu’une grande diversité en macrophytes est importante pour elle-même mais également pour la faune associée et pour la qualité des eaux.
En résumé, il est reconnu que les macrophytes sont importants pour la macrofaune benthique, fixée ou non sur les plantes, pour les poissons et pour les oiseaux d’eau. Le cas récent le plus parlant est l’augmentation du nombre de brochets qui trouvent, avec les herbiers denses de characées, un nouvel habitat propice à leur reproduction, habitat qui faisait défaut dans les dernières décennies.
D’autre part, le pouvoir auto-épurateur des macrophytes est également bien documenté, à travers leur capacité à oxygéner les eaux et à assimiler des éléments nutritifs qui, sinon, profitent généralement aux algues qui posent des problèmes lorsqu’elles prolifèrent, en particulier dans les ports.
Il est donc primordial de préserver les macrophytes du lac, même si parfois, certaines espèces posent des problèmes pour la navigation, voir très localement pour la baignade.
J’aurai bien aimé un rapport pour 2012 et plus pour le Petit Lac (secteur près de Genève), pour savoir ce qu’il s’est passé depuis l’ajout d’autres orgonites après 2010.
Cet exemple n’est peut-être pas si limpide que ca car en même temps que l’orgonite, les autorités font pleins d’efforts pour améliorer la qualité de l’eau du lac, cependant tous les changements positifs observés depuis 2008 sont quand même très proches de la période où les premières orgonites ont été placées dans le lac.
Une autre zone aquatique très orgonisée est la Seine en plein milieu de Paris, il doit bien y avoir plus de 1500 orgonites (Tower Busters) qui y ont été lancées depuis 2008-2009. Par contre je n’arrive pas à trouver d’études détaillées de la faune aquatique, la seule information que j’ai trouvée est: http://www.paris.fr/loisirs/nature-et-biodiversite/lieux-de-decouverte-de-la-biodiversite/faune-flore-des-berges-de-la-seine/rub_9588_stand_2175_port_23610
[12/12/2011]
Bien que domptée, à commencer par son débit contrôlé en amont par un ensemble de barrages, la Seine reste à Paris un élément naturel, un couloir de nature qui coupe la capitale en deux.
Le net recul de la pollution observé ces dernières années a permis la réimplantation de végétaux aquatiques et le retour de poissons d’espèces variées. Canards colverts, foulques, bergeronnettes… comptent également parmi les habitants de la Seine, sans oublier le cortège hivernal de mouettes et de goélands dont les évolutions apportent un parfum de grand large.
J’aimerai bien avoir des informations plus détaillées pour savoir quand la pollution a commencé à diminuer nettement? Ça ne m’étonnerai pas du tout que ce soit à partir de 2009. Car vous pouvez aussi lire cette nouvelle d’août 2009: http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20090811.OBS7138/le-retour-spontane-du-saumon-a-paris.html
Créé le 11-08-2009 à 09h06
Selon la Fédération nationale de la pêche, un millier de saumons auraient « traversé Paris », dans une Seine de moins en moins polluée.Le saumon et d’autres espèces de poissons migrateurs sont de retour dans la Seine, signe d’une très nette amélioration de la qualité de l’eau du fleuve, aucune opération de réintroduction n’ayant eu lieu, ont constaté dernièrement scientifiques et pêcheurs, a-t-on appris mardi 11 août.
« Il y a de plus en plus de poissons qui remontent la Seine. Cette année, ça dépasse tout ce qu’on avait pu imaginer : on doit en être à un millier de saumons qui ont traversé Paris« , estime Bernard Breton, secrétaire général de la Fédération nationale de la pêche en France (FNPF).
En 2008, selon l’Institut national de recherche agronomique (Inra), 260 saumons ont été observés par vidéocomptage dans la passe à poissons du barrage de Poses, située en amont de Rouen.
Historiquement, la Seine était un fleuve colonisé par une abondante population de saumons.
Mais l’aménagement de barrages et autres obstacles et surtout la forte augmentation de la pollution suite aux rejets industriels, agricoles et domestiques, ont conduit à l’extinction de l’espèce au début du XXe siècle.
Ces observations se sont produites environ un an après les premières introductions d’orgonites en masse dans la Seine à Paris! Encore une coïncidence?
Dépollution de l’eau de pluie
Vous pourrez trouver le commentaire ci-dessous sur cette page (il faut vous inscrire au forum): Gifting de la Creuse
Aujourd’hui je dois avoir à peu près 300 TB chez moi (il y en a absolument partout!) + 2 CB (Cloudbuster) + 1 CB (mais avec des chutes de tubes d’1m pour l’instant). Maintenant je suis à peu près certain qu’ils ne peuvent plus prendre le dessus…et vous verrez dans les prochaines photos qu’ils ont pourtant envoyé des renforts…
Côté pollution il y a aussi le fait que l’eau stagnante était rouge. 1 simple test suffisait: 1 bassine propre pour récolter l’eau de pluie, et 1 jour ou 2 plus tard, elle était rouge!
Pour l’instant c’est fini, au contraire, l’eau est particulièrement transparente.
Cette observation de l’eau de pluie redevenue complètement claire est édifiante par rapport aux effets de l’orgonite sur les pollutions atmosphériques.
Dépollution de l’air
Plusieurs personnes se sont occupées de disperser plus d’un millier d’orgonites (Tower Buster) et 10 Cloudbuster dans la capitale du Chili; Santiago; entre début 2007 et 2009, et ils/elles continuent toujours. Les changements dans l’atmosphère se passent de commentaires, malheureusement je ne trouve aucunes études qui examinent l’air jusqu’en 2011, la majorité des études vont jusqu’en 2008 au plus.
Ce graphique disponible sur: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0269749111005896 montre le nombre de jour dans l’année ou les seuils de pollution officiels on été dépassés. Il faudrait savoir si la descente amorcée entre 2006-2007 et 2007-2008 continue encore? Cela ne m’étonnerai pas.
Les données de la qualité de l’air (particules MP10 & MP2.5) sont disponibles sur cette page: http://www.seremisaludrm.cl/sitio/pag/aire/indexjs3aireindices-prueba.asp mais je n’ai pas le temps de tout synthétiser pour le mettre sous forme de graphique.
Aussi sur http://www.seremisaludrm.cl/sitio/pag/aire/indexjs3airee001.asp on peut avoir les jours dans l’année ou il y a eu des alertes critiques de pollution (mais ce ne sont pas les mêmes seuils d’alerte que sur le graphique ci-dessus), mis à part les années 2004/2005, toutes les autres années il y a eu environ 20 alertes et une dizaine de pré-alertes. En 2009 il n’y a eu que 23 alertes (aucune pré-alerte) et en 2010 seulement 11 alertes, pour le moment les données pour 2011 ne sont pas encore publiées. Ca sera intéressant de suivre les tendances.
Il faut aussi noter les mensonges des autorités! Qui ont d’abord dit qu’elles ne savaient pas pourquoi il y avait des changements tellement favorables en terme de pollution en 2009 et ont attribué ca à un climat favorable. http://www.santiagotimes.cl/santiagotimes/index.php/2009081316884/news/environmental-news/santiago-smog-levels-lowest-in-four-years.html Bien sûr cette page à disparu…
Santiago Smog levels lowest in four years
Friday, 14 August 2009Geologists Attribute Decline To More Wind And Rain
Residents of the Metropolitan Region have been “blessed” with wind and rain this winter, according to Chile’s National Environment Agency (CONAMA), whose studies show the lowest pollution levels since 2005.
The capital city records alarmingly high levels of smog in winter as emissions accumulate and become trapped in the basin where the capital lies. Only wind and rain can disperse the high levels of particulate matter produced by the city’s bus network, industry emissions and citizen’s fossil fuel burning heaters. Experts claim that the decrease in emissions is due to climactic factors rather than the implementation of government measures or a change in habits from the regions’ inhabitants.
The study was based on the number of critical and pre-emergency alerts relating to air pollution and grouped according to the dangerous effects on human health. The perturbing pre-emergency status is reserved for days where saturation levels are so high that it is deemed dangerous to breathe the air and the capital’s residents are advised to stay indoors as much as possible.
CONAMA recorded ten days as critical and two days as pre-emergency so far this year. Since 2005, which saw four critical and two pre-emergency days, smog levels have increased exponentially. The increase has been put down to an increase in fossil fuel burners and lack of ventilation in the Santiago basin.
Metropolitan Region governor Igor Garafulic claims that this year’s success is due to a good year in meteorological terms, rather than any human attempt to curb emissions. He would like to see a drop in pollution levels thanks to preventative measures, namely the government’s Anti-Pollution Policy, which has yet to be implemented.
The current policy exempt industries from serious regulation, even though their fossil fuel emissions account for 80 percent of the particulate matter in the region. Instead of cracking down on the biggest culprits such as buses, car owners, and industry, the government has concerned itself with restricting residential use of wood and coal burning heaters.
Deux semaines plus tard le discours avait complètement changé et certains de ces effets bénéfiques étaient attribués à des mesures gouvernementales… http://www.latercera.com/contenido/680_176808_9.shtml
La Intendencia y los Ministerios de Transportes y Medio Ambiente entregaron un balance de los episodios críticos que vivió la capital dentro del período con mayor presencia de contaminación que va desde el 1 de Abril al 31 de Agosto de 2009.
A juicio de la autoridad hay satisfacción debido a que este año se constataron sólo diez alertas ambientales y dos preemergencias, lo que en la práctica significa un 65% menos de preemergencias y un 30% de alertas.
En 1997 comenzó el plan de descontaminación de la capital. Al año siguiente hubo 43 días con alertas y 23 con preemergencia.
Las buenas cifras de este año se equiparan a las positivas cifras del 2004, según explicó el Intendente, Igor Garafulic. “Es el segundo mejor año histórico y estamos satisfechos”, puntualizó.
La razón de los buenos índices responden “a mejor calidad de combustibles pues el Transantiago tiene mejores buses disponibles, la ciudadanía está comprometida y tiene mejor comportamiento con la restricción vehicular, la industria aporta lo suyo pues la Enap limpió los combustibles”, dijo la ministra de Medioambiente, Ana Lya Uriarte.
Esto a pesar de que las condiciones de ventilación fueron más deficientes que el año 2008 (39 días con mala ventilación versus 40 días en 2009).
Garafulic negó de paso que haya existido “manipulación de datos” tal cual lo denunciaron algunos diputados y una universidad.
“No hay margen ni para manipular, ni morigerar datos. La información de monitoreo de estaciones son públicos y todo se hizo de un modo eficaz, responsable, transparente y eficiente”, replicó el intendente Metropolitano.
(Utilisez la traduction automatique dans la colonne de droite, je n’ai pas envie de tout traduire..)
Un extrait de journal en septembre 2010 atteste de l’amélioration très observable de la qualité de l’air à Santiago qui s’est encore améliorée de 2009 à 2010:
Un dernier phénomène très marquant est la floraison du désert de l’Acatama en 2011, qui est survenue après qu’il y ai plus de pluies que d’habitude en 2011 (50mm ce qui est énorme pour un désert!). Bien sûr ce changement s’est aussi produit à la suite d’une orgonisation de Vallée de Elqui et les alentours du désert de l’Atacama entre 2009 et 2010.
http://www.airpost1.com/nature/flower-blooms-in-desert-of-atacama/
A priest who is an amateur botanist in the region named Padre Lucio even said “The last time there were so many flowers was in the 1989″..”There have been many desert bloom since then, but never like this one”.
Traduction: Un prêtre du nom de ‘Père Lucio’ qui est un botaniste amateur dans la région a dit: « La dernière fois qu’il y a eu autant de fleurs c’était en 1989″.. »Il y a eu plusieurs floraisons du désert depuis, mais jamais comme celle-ci ».
Une photo du désert en fleurs faite par ces amis orgonautes. http://www.ethericwarriors.com/ip/viewtopic.php?t=3445
Je me passe de vous parler de ce qui est entrain de se passer en Afrique du sud depuis environ dix ans depuis le début des expéditions de Georg de orgoniseafrica. Maintenant en Afrique centrale-est les habitants dans les régions autour du Lac Victoria au Kenya, en Uganda et en Tanzanie sont aussi entrain d’accomplir des miracles grâce à l’orgonite, mais ce genre d’événements ne font pas les nouvelles! Les fermiers ont plus de pluie, il n’y a plus vraiment de sécheresse dans ces parties du continent africain, il y a de plus en plus de poissons dans le lac et de plus en plus d’africains de cette région deviennent des agriculteurs, cela a aussi un effet bénéfique sur les violences qui diminuent car les gens commencent tous à avoir du travail et ne sont plus sans emploi. J’ai hâte que quelqu’un de là bas écrive un livre pour raconter ces aventures de leur point de vue!
Les sécheresses de l’Afrique de l’est en 2011 n’ont pas affecté la région dont je vous parle autour du lac Victoria…