Le Mythe du Tamiflu


Cet article a été publié originellement en anglais sur la Gazette de Brother Jonathan le 5 décembre 2005. Après l’hystérie de la grippe H1N1…
par Marshall Smith
newseditor@brojon.com

http://www.brojon.org/frontpage/the_tamiflu_myth.html

Avec le titre original: Ce que la Big Pharma et le CDC (Centre de contrôle des maladies) a oublié de dire aux docteurs.
Mais cette page n’existe plus, n’a jamais été traduite en français, et contient des informations que tout le monde devrait savoir sur le mécanisme de la fièvre!
Donc voici la traduction rien que pour vous. :)

Tamiflu (un médicament pour réduire la température de la fièvre) fut développé il y a beaucoup d’années de cela à la suite de tests en laboratoire qui on montré qu’il ralentissait la réplication de virus dans des bacs de culture. Les tests sur les humains on montré que ça réduisait la durée normal de la grippe de 5-7 jours de environ 1.5-2.5 jours. Le médicament ne pouvait pas prémunir de la grippe, soigner ni guérir la grippe. AU mieux c’est un palliatif ou anti-douleur pour « traiter les symptômes » mais, pas pour soigner la maladie.

La plupart des docteurs pensent encore, à tort, au principe de la réponse d’anticorps du système immunitaire comme étant la méthode par laquelle notre corps se bat contre les infections virales. Mais ce n’est pas ainsi. Le corps induit une fièvre supérieure à 38,3 °C qui bloque les télomères sur la fin des virus de toute réplication possible.

La fièvre est la réponse primaire généralisée du système immunitaire humain, ou mammifère, pour toute attaque virale. Tout traitement palliatif qui réduit la température de la fièvre ou d’infections grippales prolongera l’infection et peut amener à des dommages irréparables ou mortels, principalement du à une pneumonie virale qui en résultera. Mais la pneumonie a été causé par l’abaissement de la température de la fièvre qui a permis une réplication virale hors de contrôle dans les poumons. La plupart des médicaments contre la grippe et les rhumes, incluant l’aspirine et la tamiflu sont à classer comme palliatifs.

Ces 2 dernières années, les docteurs ont soigné des patients atteints de la grippe aviaire H5N1. Les résultats sont que 50%, ou la moitié, des patients traités meurent d’une pneumonie virale. Ces morts étaient-elles dues à une ‘nouvelle’ souche de la grippe aviaire ou était-ce du à l’utilisation du ‘nouveau’ anti-viral Tamiflu? Un bon docteur saurait faire la différence.

Résoudre le problème des infections virales

Récemment, une lectrice du BroJon, de prénom Doreen, a écrit pour poser des questions qui étaient aussi posées par des centaines d’autres lecteurs, elle a écrit :

« J’ai récemment lu votre article sur la grippe aviaire, et j’ai eu quelques questions pour vous. Premièrement, êtes vous un scientifique? Deuxièmement, bien que votre article semble informatif (et je rejoins vos conclusions que cette soit-disant pandémie est une grosse arnaque), je n’ai pas eu assez d’information par rapport à la reproduction et réplication, en ce qui concerne les bactéries (qui se reproduisent) et les virus (qui se répliquent)… Pouvez-vous m’expliquer la différence entre les deux, ou me donner des informations qui me permettront de comprendre? »

Très bonne question. Oui, je suis un scientifique de l’enseignement supérieur, j’ai plusieurs diplômes universitaires. J’ai passé plusieurs décades à travailler comme scientifique/ingénieur pour la NASA. Un de mes projets à la NASA était l’expérience biologique du rat et du singe qui s’est envolé avec la sonde Challenger en 1985. J’ai travaillé directement avec l’astronaute/scientifique Dr. Robert Obermeyer. J’ai travaillé dans des laboratoires aseptisés, testant les cages et instruments de mesure que j’avais construit pour l’expérience, pendant que Bob Obermeyer prenait les animaux dans la salle de chirurgie et implantait les animaux avec des petits transmetteurs qui produisaient des données enregistrées sur mon ordinateur.

J’ai longtemps été un chercheur médical, mais je n’ai pas de licence ni de diplôme. Donc je ne vois pas les choses de la même façon que les docteurs. Une chose sur laquelle je suis le plus en contradiction, par rapport a la profession médicale, est comment les virus se répliquent et infectent les cellules.

Utilisant mes diplômes de physicien et ingénieur, j’ai étudie l’enveloppe virale des virus. C’est comme ça que j’ai découvert que la réplication des virus est très similaire à une reproduction sexuelle. Je n’ai pas vu cela écrit dans aucun livre médical, ou articles, ou journaux, donc, Doreen, je ne peux pas vous diriger vers des sites internets pour plus d’explications. Je vais donc essayer de vous l’expliquer du mieux que je peux.

La grosse différence entre les bactéries et les virus – Ce que les docteurs n’ont jamais appris en faculté de médecine

Les bactéries sont de larges animaux uni-cellulaires qui sont assez larges pour êtes vu sous un microscope. Une bactérie est un sac protéinique contenant un fluide qui mimique l’acidité et la salinité de l’eau de mer. Cela reflète le fait que tous les animaux et plantes sur terre se sont formées dans les océans salés de la terre. Maintenant, toutes les cellules animales portent leur propre océan salé interne. Ce fluide cytoplasmique contient plusieurs parties, incluant le nucléoïde de la cellule qui est très similaire à un virus, et beaucoup de petites sub-bactéries primitives qui sont dans chaque cellule, appelés par des noms tels que mitochondrie et appareil de Golgi parmi d’autres.

Ces sub-parties sont des corps similaires à des bactéries très simples qui ont des fonctions spécifiques dans la cellule, tel que collecter l’oxygène ou effectivement produire l’acte de respiration, et d’autres parties prennent le sucre, les graisses et protéines dans le sang et pendant qu’elles entrent dans le fluide de la cellule sont converties en nourriture et énergie pour chaque cellule. Donc chaque bactérie est un organisme vivant qui, (1) peut se déplacer, (2) peut chercher de la nourriture et la consommer, combinant la nourriture et l’oxygène pour en faire de l’énergie, et (3) peut se reproduire en faisant des copies de chaque cellule en se divisant par le milieu et créer deux copies identiques à partir de la cellule originelle.

Mais, contrairement aux cellules bactériennes, les virus ne sont pas vivants. Ils ne peuvent faire rien du tout de ce que les bactéries savent faire. Tous les virus ont deux parties simples, (1) une unique longue chaine moléculaire appelée ADN qui peut avoir des millions d’atomes dans la longue chaine, et (2) une enveloppe de protection extérieure composée de matériel protéinique, qui est composé de parties cassées de l’enveloppe cellulaire ou bactérienne d’où le virus s’est échappé la dernière fois. Les virus ne sont pas vivant et ne peuvent pas produire leur propre enveloppe protéinique. Les virus sont beaucoup plus petits que les cellules, n’étant composés que d’une chaine unique d’atomes, ils ne peuvent pas être vus sous un microscope normal. Ils ne peuvent être vu que dans des microscopes électroniques.

L’ADN au milieu du virus est une longue chaine de molécules sucrées uniques connectées, appelée ribose. Sur chaque ribose une molécule de sucre est ensuite attachée à un acide-aminé. Ce processus pour créer de l’ADN ne peut se produire que dans une cellule bactérienne hôte qui a un grand stock d’acide-aminés libres flottant dans le fluide cytoplasmique. Il y a environ 17 acide-aminés dans les protéines que les humains mangent, mais seulement 4 amino-acides critiques sont utilisé pour former l’ADN.
La création de bandes, ou du modèle répétitif des 4 acides-aminés, comme une chaine de pierres colorées, est utilisé pour faire des copies partielles de sections de l’ADN pour faire des hormones en chaine-protéinées qui contrôlent comment les cellules opèrent et se reproduisent. Ces copies protéinées partielles de petites sections de molécules d’ADN sont au fait des hormones qui communiques avec et contrôlent d’autres cellules, et sont ce qui fait que votre corps grandit et vit.

Comment votre corps utilise des molécules d’ADN de type viral

Les molécules d’ADN dans vos cellules sont similaires à l’ADN d’un virus, mais avec plusieurs différences. L’ADN dans vos cellules est composé de deux long brins parallèles liés ensembles. En simplifiant grossièrement comment ils sont formés, on peut dire que une moitié de la double hélice vient de votre mère, l’autre de votre père. Les deux moitiés sont liées ensemble pour créer un diploïde ou hélice double complète qui constitue l’ADN complet d’un animal ou d’une plante qui se trouve dans le nucleus de toute cellule vivante. Mais l’ADN viral est seulement la moitié de cette longue double hélice, il n’a pas de père ou mère. Il a seulement des copies identiques répétées de la moitié originale ou haploïde. De ce fait, le virus ne peut pas se « reproduire » de la même façon que les cellules.

Mais votre corps fait en fait la même chose. Quand une femme ovule, la division en deux normale se produit en division par quatre dans ses ovaires pour diviser la double hélice d’ADN originale en quatre brins simples pour les ovaires. Chaque ovule est la moitié, ou un haploïde de la version originale d’ADN. La reproduction normale de toutes les cellules dans notre corps est une simple division en deux copies de diploïdes exacts. Ce processus est appelé mitose et se produit dans presque toutes nos cellules environ chaque semaine. Mais une fois par mois, chez les femmes, certaines cellules dans les ovaires se divisent par un processus unique appelé méiose qui entraine la division des cellules en quatre parties identiques. Et chaque nouvelle cellule primitive a seulement la moitié de brins d’un ADN normal. Chaque haploïde est un ovule, et il a la même structure atomique et moléculaire d’un ADN à un brin de virus.

La même chose se produit chaque mois chez un homme, quand le sperme est créé par la division de molécules d’ADN du corps en quatre haploïdes ou demi molécules d’ADN, qui est tout ce qui compose le sperme. Ni ovule, ni sperme ne sont des cellules vivantes. Elles ne peuvent pas se reproduire par elles-même. Elles sont plus équivalentes à l’haploïde simple de l’ADN d’un virus. par la reproduction sexuelle, qui est presque exactement la même chose qu’un virus pénétrant une cellule, le haploïde (ou demi ADN) de la mère et celui du père sont combinés en un diploïde entier, ou une double hélice d’ADN complète, produisant une nouvelle cellule vivante destinée à devenir un nouvel être humain. Les virus ne font pas ça. Ils continuent simplement de faire des copies exactes de leur haploïde (demi-hélice) originel. Ils ne sont pas vivants. Ils ne peuvent pas grandir ou muter d’une forme de grippe aviaire à une autre. Ils sont plus comme des cristaux inanimés, qui peuvent seulement copier plus de cristaux. Ils ne peuvent pas grandir ou muter. Aussi, au même titre que le sperme entrant à travers la membrane unique d’un ovule, qui est spécifique à chaque espèce, voulant dire que le sperme d’une vache ne peut pas féconder l’ovule d’un mouton, un virus ne peut pas entrer dans n’importe quelle cellule qui a une membrane différente de celle du virus original. C’est pour cela que les humains ne peuvent pas attraper la grippe aviaire.

Les quatre acides-aminés utilisés pour créer l’ADN s’appelle les acides nucléiques quand ils s’attachent sur le long brin sucré de ribose des molécules. Quand ils sont attachés ils s’appellent les acides Ribonucléiques. Quand le long brin de millions d’acides ribonucléiques est complètement formé d’un bout à l’autre, de l’oxygène est relâché sur l’extrémité du brin, transportant un électron, et c’est à ce point que la chaine complète est coincée/fixée ensemble par des forces électriques. La libération de l’atome d’oxygène s’appelle de-oxyfication. Cette longue chaine, quand elle est complètement remplie, et par la suite de-oxyfiée est appelée acide de-oxy-ribo nucléique, ou comme nous le connaissons, ADN.

C’est aussi tout ce qu’est un virus. Juste une longue chaine de millions de ces quatre acides-aminés assemblé de façon spécifique. La seule différence entre les millions de types de virus est les répétitions des séquences des quatre acides-aminés le long de la chaine. L’ADN du virus ne peut pas se déplacer tout seul, il ne peut pas changer de position, respirer et manger, et il ne peut pas se diviser en deux pour faire des copies de lui-même ou se reproduire de la même façon que les cellules de bactéries. Un virus ne correspond pas à une définition de quelque chose de vivant. C’est plus comme une répétition de séquences d’atomes dans un cristal.

Comment vos cellules utilisent l’ADN pour se reproduire, mais les virus ne peuvent que se répliquer – Le Mystère de la réplication virale expliqué

La seule chose qu’un virus fait est un processus appelé réplication. Quand un virus pénètre dans une de vos cellules, il s’échappe de l’intérieur de sont ancienne membrane protéinique et il s’allonge en une longue chaine. L’ADN viral accumule des millions d’acides-aminés libres flottant dans le fluide salé des cellules pour faire une copie à l’identique des quatre types d’acides-aminés assemblés sur sa chaine virale. La copie inversée de la chaine est appelée acide rétro-de-oxy-ribo nucléique, ou ARN. La molécule d’ARN est spéciale et continue de faire d’autres copies identiques d’elle même, qui sont évidemment des copies identiques de l’ADN viral. Cette méthode unique pour faire des copies à l’identique de copies identiques, de copies identiques, etc. est la seule méthode qu’un virus peut utiliser pour faire des copies. C’est la réplication.

La molécule d’ARN va ainsi de suite continuer à faire beaucoup, beaucoup de copies, ce qui veut dire que l’ADN viral original a maintenant des milliers de copies d’ADN dupliquées faites à partir des acides-aminés volés du fluide de vos cellules. Ceci affame vos cellules d’acides-aminées en quelques minutes et les détruit. Le virus original et ses milliers de copies sont maintenant libres d’envahir d’autres cellules de votre corps.

Mais avant de quitter la cellule infectée, les milliers de nouvelles copies d’ADN volent un bout de l’enveloppe protéinique qui enrobait votre cellule maintenant endommagée et mourante et enrobe l’ADN viral avec cette enveloppe volée. C’est par ce subterfuge que le virus peut exister dans votre corps. En se cachant à l’intérieur de l’ancienne membrane de vos propres cellules, le virus peut donc se cacher de votre système immunitaire étant donné qu’il ressemble maintenant à une de vos propres cellules amies et non comme un corps étranger dangereux.

Comment un virus unique peut sembler être de centaines de types différents – La différence entre types H5N1 et H3N2 est l’enveloppe protéinique volée

Cela veut dire qu’un même type de virus peut avoir beaucoup d’enveloppes protéiniques différentes, dépendant d’où il vient dernièrement. Si il est venu dernièrement d’un oiseau, c’est un virus aviaire et ne peut que infecter certains oiseaux. Si le même virus vient d’un cochon, c’est un virus porcin. C’est presque impossible pour les humains d’attraper des virus de chevaux, chiens, oiseaux ou serpents.

Malheureusement, c’est très facile pour les humains d’attraper des virus porcins, due à l’étrange similarité entre les tissus porcins et humains. La structure atomique sur l’enveloppe de surface chez les cochons est assez similaire de celle humaine et donc peut infecter un humain. C’est pour cela que les tissus de cellules porcines, telles que les valves cardiaques, insuline pancréatique et autre parties de cochons/porcs peuvent être utilisés pour des humains. Étrangement, c’est difficile pour les virus de nos voisins mammifères les plus proches, gorilles et chimpanzés, de pénétrer un humain. Les virus simiens ne sont tout simplement pas assez similaires dans leur enveloppe protéinique que celle des enveloppes humaines.

C’est la façon la plus claire dont je peux expliquer la réplication virale. C’est un processus de copie d’atomes et molécules d’ADN et ARN dans un ordre spécifique. Ça n’a rien à voir avec la division ou reproduction de cellules vivantes.

Doreen, l’astuce ici est que, pour que l’ARN viral puisse faire beaucoup beaucoup de copies de l’ADN viral original, la molécule d’ARN viral doit se détacher et répandre chaque nouvelle copie dans le fluide de la cellule, pour ouvrir les espaces de connexion atomique le long de la longue chaine de la molécule d’ARN, dans le but de faire de la place pour chaque nouvelle copie.

Comment stopper instantanément le processus de réplication virale – Pourquoi les mammifères sont différents des reptiles et oiseaux

Ce qui permet à l’ARN de se copier entièrement et de relâcher la nouvelle copie, et décrocher le nouvel AND viral de l’ARN original est quelque chose au bout de la chaine moléculaire, appelé télomère. Quand l’ADN est complet, la charge électrique sur le télomère de l’ARN change, comme le basculement d’un interrupteur, et il libère et repousse la nouvelle copie d’ADN par des forces électriques. Mais le télomère d’ARN est sensible à la température, il ne va pas libérer la nouvelle copie si il fait trop chaud.

Si la température du télomère sur le bout de la chaine d’ARN est trop chaud — cad. supérieur à 38,8°C, dans ce cas le télomère ne peut pas s’ouvrir et libérer la nouvelle copie d’ADN. L’ARN et la nouvelle copie d’ADN virale sont liés électriquement — et ils sont coincés– ils ne peuvent se séparer. Donc, l’ADN viral original ne peut pas se répliquer, ne serait-ce qu’une seule fois en utilisant l’ARN, si vous avez une fièvre d’environ 38,3 à 38,8°C. C’est pour cela que tous les humains et mammifères à sang chaud sur terre produisent un fièvre quand ils sont infectés par un virus, parce que cela empêche entièrement l’ADN viral original de se répliquer. Cad. — c’est la fin pour le virus original et sa réplication. C’est aussi pour cela que la plupart des virus sur terre viennent d’oiseaux et reptiles, vu qu’ils ne peuvent pas augmenter la température de leur corps pour causer une fièvre, les virus peuvent se répliquer indéfiniment chez ces animaux. Certaines infections virales peuvent exterminer et cause une extinction totale chez certains reptiles, amphibiens et oiseaux. Cela est rare chez les mammifères à sang chaud qui peuvent avoir une fièvre quand infectés par un virus.

C’est pour cela que nous avons des fièvres. Et c’est aussi pour cela que réduire la température abusivement avec du Nyquil, ou des aspirines ou n’importe quel autre type de médicaments peut vous tuer, car si la température redescend trop bas, l’ARN viral peut à nouveau se répliquer librement à partir de l’ADN viral original. Chaque nouvelle copie peut ainsi de suite refaire de même et en quelques heures produire des milliards de copies et infecter de plus en plus de cellules de votre corps, jusqu’à votre mort. Mais la haute température ou une fièvre, stopperont la réplication virale instantanément.

Où chercher pour plus d’information à propos de réplication virale – Comment et Pourquoi le CDC a désinformé le public

Donc Doreen, je vous suggèrerai, au lieu de chercher sur internet au sujet de la réplication virale (qui ne produit que peu de résultats), de faire une recherche sur les télomères et chercher les dernières recherches montrant comment ils affectent le vieillissement des cellules et leur sensibilité à la température. C’est comme cela que vous trouverez des informations sur la réplication de virus. Je ne connais aucun médecin en exercice qui connait grand chose sur le sujet des télomères et de la réplication virale. On dirait que seuls les chercheurs dans les laboratoires médicaux connaissent ce processus important.

Merci pour vos questions et j’espère que je vous aurai aidé à comprendre le processus de réplication virale. Et oui, c’est plus ou moins comme ils faisaient dans Star Trek — atome par atome. Et même si il y a des millions d’atomes le long de la chaine d’ADN, c’est tellement petit que le processus de réplication peut être complété bien plus vite qu’en une seconde. Plus vite que vous pouvez dire: « zip ».